John Towner Williams est un
compositeur, chef d'orchestre et
pianiste américain, né le 8 février 1932
à New York.
Il est principalement connu pour ses
musiques de films. On lui doit le
renouveau des bandes originales
symphoniques avec ce qui reste son
œuvre la plus célèbre : la musique de
la saga Star Wars.
Compositeur attitré de
Steven Spielberg et de
George Lucas, Williams a composé au
cours d'une carrière qui s'étend sur
près de soixante
ans, un grand
nombre des plus
célèbres musiques
de
films de l'histoire
d'Hollywood,
notamment Les Dents de la mer, les
sagas Star Wars et Indiana Jones,
Superman, E.T. l'extra-terrestre,
Jurassic Park et les trois premiers films
de la saga Harry Potter. Il a également
composé la musique de quatre Jeux
olympiques, NBC Nightly News, la
cérémonie d'investiture du président
Barack Obama, et de nombreuses
séries télévisées.
La Danse Macabre, si elle est
largement d’une qualité comparable à
l’introduction et rondo capriccioso,
nous propose un schéma fort différent :
il s’agit ici d’une musique descriptive,
voire narrative, avec ses personnages,
ses situations, sa réalité visible.
Inspirée par un poème de Henri
Cazalis et créée en 1875 avec un
succès médiocre, elle est la première
œuvre à introduire le
xylophone dans
l’orchestre, preuve s’il
en était besoin de l’innovateur
permanent qu’était Saint-Saëns. Elle
nous invité à entrer dans le monde des
ténèbres, entouré
des démons, des
squelettes, des
monstres et de
Satan lui-même
nous entraînant avec
son violon vers l’abîme des âmes,
jusqu’à ce que le chant du coq ne
vienne nous ramener à la réalité. Le
violon conduit donc la danse des
spectres, qui sont plus ou moins
directement représentés par
l’orchestre, jusqu’à une apothéose
diabolique, déconstruction savamment
travaillée, et à l’extinction du violon
dans un soupir qui annonce déjà son
retour prochain. ( Link 1 )
Pour ce premier score, Davis ménage
sa thématique et suggère un thème
basé sur une réponse entre
cors/trombones et trompettes. Ce
thème en 'écho' suspendu évoque à
merveille l'idée d'espace infini suggéré
par l'immensité de la matrice. Il s'agit
sans aucun doute de l'un des plus
grands thèmes musicaux de cinéma de
cette fin du 20ème siècle, dans le sens
où il évoque
immédiatement tout
l'univers du film,
fortement ancré dans les images et les
visuels de 'Matrix'. Pourtant, le thème
n'a rien de mélodique et passera
même inaperçu
à la
première
écoute. Ceci
nous
prouve qu'un
thème
fort n'a pas
forcément
besoin
d'être constitué d'une succession de
notes faciles à mémoriser. Tout le reste
du score va s'attacher à décrire une
ambiance orchestrale sombre, et ce
dès le début du film, avec 'Main
Title/Trinity Infinity'.
Danse macabre-Camille Saint Saëns
Indiana Jones' - John Williams
Matrix - Don Davis
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